Tchad:Le FSR, un autre choix de l’alternative soudanaise ?

Publié le par Waldar

Voici qui se lit sur le net ces derniers temps: "Ahmat Hassaballah soubiane serait il tenté par un ralliement au régime de Ndjamena? De nombreuses et diverses tractations impliquant des anciens et nouveaux collaborateurs d'Idriss, ainsi que la Libye, seraient en cours à cet effet."  Telle est en fait la dernière trouvaille des frères Erdimis à l'endroit du FSR de Soubiane. Apres vérification auprès des sources proches du FSR, il n'en est rien sinon qu'un ballon lancé en réponse a un profond malaise dans les rangs de l'UFR. C'est aussi classique que simpliste. L’UFR qui fait des pieds et des mains pour regrouper des hommes de combats, souffre la paranoïa qui sévit dans ses milieux.

 

Le leader du FSR n'a pas encore bougé de Khartoum malgré les appels incessants des combattants des autres camps à s'associer à lui. Ce qui parfois exprimait un réel état de jugement sur le terrain. Selon nos sources toujours, les combattants du FSR voient leurs rangs grossir chaque matin de nouvelles têtes. "Nous sommes des amis ave le FSR et nous voulons restés avec le FSR".

 

Selon l'entourage de Soubiane, tout laisse croire que le FSR qui vient de recevoir 38 toyotas et une Nissan blindée d'un pays amis du Golf, serait le seul autre choix de l'alternative soudanaise si l'UFR ne réussi pas. En quoi cela pourrait-il empêcher le sommeil des Erdimis? A la question de savoir quelle est la position du leader du FSR en ce moment ? Notre source est claire. " Pour nous, tchadiens, eu égard a un principe Nous nous sommes dits, ne jamais commettre l'erreur du passé en reconduisant les mêmes pour un changement et ce, au risque de disparaître a jamais. Maintenant, nous ne sommes pas aussi opposés a l'approche entamée par nos amis vue sous différents angles en vu de juguler une crise dans la région. Nous demeurons même, respectueux de leur stratégie.   Pour le reste , j’aimerais ajouter que le FSR est de nos jours une grande organisation incontournable qui entend garder son calme. Si hier nous avons dit non à Deby, aujord’hui non à Timane, il serait bien sure illusoire d’évoquer un quelconque ralliement à Ndjamena.. Le ver est dans le nez de l’autre. » Fin de citation.

 

 Toutou reporter

Depuis Khartoum

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